L’ÊTRE BLESSÉ

RECONNAÎTRE SES BLESSURES

L’humiliation, le rejet, l’abandon, la trahison, l’injustice, ce sont les cinq blessures de l’être profond.

Mais de quoi parle-t-on exactement ?
Certains spécialistes les appellent les psycatrices.

Ce sont des blessures de l’âme qui se manifesteraient à l’âge adulte face à des situations, des relations. Elles nous feraient surréagir et réactiveraient un besoin non satisfait de l’enfant que nous avons été. Un manque d’attention, de protection, de sécurité, aurait un impact sur notre existence et sans savoir pourquoi ce mal- être s’installe insidieusement dans notre présent et notre vie d’adulte.

Je me sens blessé(e) et je ne sais pas pourquoi ?
Se construire malgré toutes ces injonctions, ces manquements viennent creuser la blessure et renforcer la croyance que nous ne sommes pas assez bien, pas à la hauteur, bon à rien, pas capable, pas aimable et la liste longue…

UNE PRISON MENTALE OÙ LA CLEF EST À L’INTERIEUR

Alors, on dresse au fil du temps des systèmes de protection, des mécanismes d’évitements. On porte un masque ! Social, amoureux, professionnel.

Pourquoi ?
Pour ne plus souffrir, ne pas avoir mal, être à découvert… Et comme la vie est bien faite, on expérimente ce que l’on croit. Nous sommes de cette façon toujours confrontés aux mêmes situations.


Une prison mentale où la clef est à l’intérieur.
Pour sortir de ces schémas répétitifs, il est important d’identifier la ou les blessures ; la porte d’entrée de son mal-être.

En se regardant en face, aller à sa rencontre pour déconstruire cette forme-pensée parasite. Pour développer une solide estime de soi et se sentir à sa place, légitime et nécessaire.

*Une forme-pensée est faite d’énergie et contient une matière émotionnelle et mentale